Mes déculottées et fessées

Catégories : Hommes fessés
il y a 6 ans

Les heures s’écoulent. Je suis dans notre chambre, en attendant que Virginie rentre du travail. Ce matin, le ton est monté, mais pressée par le temps, elle me fait la promesse que nous règlerons notre différend ce soir à son retour.

Ce temps est venu, je sais que dans quelques instants, elle sera là et qu’il est inutile de penser qu’elle aura oublié. J’entends la clef dans la serrure, puis je la devine posant son sac. L’empreinte sonore de ses chaussures à talons hauts, qu’elle n’a pas quittées, me parvient de l’escalier.

La porte s’ouvre et elle apparaît vêtue de son petit tailleur bleu. Pas besoin de grand discours, je sais pourquoi elle est là, et je connais par cœur les étapes. Elle ne se gêne pas, cependant, de me rappeler les raisons de sa présence parce que ça fait partie du contexte et qu’elle sait aussi que m’annoncer la bonne fessée promise, fait son petit effet.

Puis, elle pose sa veste sur notre lit, et s’accroupit devant moi.

C’est dans ces moments là que mes yeux ne peuvent s’empêcher de plonger dans le décolleté qui m’est offert. Le geste assuré, elle déboutonne mon pantalon, en dégrafe la braguette et le descend prestement à mes chevilles. Mon cœur bat la chamade parce que l’instant est décisif : je sais qu’après, mon heure sera comptée. Fidèle à son habitude, elle attr a p e mon slip par les côtés et me déculotte recto-verso à mi-cuisses faisant fi de mon intimité.

De toute manière, elle a décidé de baisser ma culotte et il ne me viendrait jamais à l’idée de protester. J’ai toujours été habitué à être fessé de la sorte, alors ce qu’elle dit, elle le fait et elle ne s’en prive pas. Se relevant, elle me prend ensuite sous son bras, contre sa jupe, me ceinturant solidement la taille dans cette position inconfortable, à moitié en équilibre sur mes deux pieds, mais ainsi maintenu, je suis incapable, si tant est que l’idée m’en venait, de lui échapper.

Je n’ai plus qu’à attendre le moment où sa main va s’abattre sur mes fesses. La première claque me fait sursauter et m’arrache un cri, et très vite les autres suivent en alternance sur mes deux globes à cadence régulière et soutenue. La chaleur qui envahit mon postérieur m’oblige à serrer les dents. On pense que ça va s’arrêter, mais ce serait trop facile, la fessée ne fait que commencer. La cuisson devient à la limite du supportable, je pince mes lèvres qui, finalement, laissent échapper encore un cri, bientôt suivi d’autres. Tans pis pour ma fierté et ma pudeur que j’abandonne sous la punition qui commence à faire son effet.

Je pourrais croire que Virginie, attendrie, me relâche enfin, mais au contraire, elle semble galvanisée par mes premiers s a n g lots qu’elle entend. Effectivement, il faut être logique, si la fessée s’arrêtait au moment où elle fait son effet, elle n’aurait plus de raison d’être. Loin donc de cesser, les longs doigts de sa main continuent de fouetter sèchement à un rythme toujours aussi régulier ma paire de fesses qui virent du blanc au rouge.

Cette fois, je m’entends promettre d’être plus sage alors que mes pieds qui touchent le sol s’invitent à une danse censée atténuer l’incendie qui se propage sur le bas de mes reins. Par réflexe, ma main tente vainement de s’interposer, mais Virginie n’a aucun mal à chasser l’intruse. Je suis dans la phase où je me sens complètement impuissant, soumis que je suis, à son bon vouloir.

Elle cesse quelques secondes, mais alors que j’aurais pu croire à ma rédemption, je sens qu’elle baisse également mon slip et reprend une série de claques sur le haut de mes cuisses. Mes fesses ne lui suffisent plus. Je ne suis plus qu’un volcan qui s’embrase.

Infatigable, elle revient sur mes fesses, ravivant le brasier qui sommeillait, tandis que résonnent les séries de claques et les pleurs dans la chambre, dont les murs ont été si souvent témoins de ces fessées magistrales.

Mon corps sursaute, j’ai l’impression que mes fesses et sa main ne font plus qu’un, comme si elles allaient à sa rencontre. Je n’en peux plus. Collé à l’envers à sa hanche, mes fesses exposées, je ne puis que m’abandonner. Curieuse situation que ces moments où l’on vit la fessée avec ses « émois », mélanges de sensualité et de soumission, femme et maîtresse à la fois, nos corps mêlés, dans un ballet dont elle est la reine, juchée sur ses talons, la jupe au-dessus du genou, le galbe des jambes gainées de soie que je peux à loisir admirer aux premières loges.

Enfin, je sens qu’elle relâche la pression. Les yeux larmoyants, je me redresse et ne peux m’empêcher de jeter un œil sur mes fesses brûlantes et que j’aperçois bien rouges, ce qui déclenche un petit sourire de Virginie, qui m’invite à lui faire un câlin pour me faire pardonner

Elle me prend dans ses bras, me serre contre sa poitrine, alors que mon pantalon et mon slip sont encore autour de mes chevilles. Elle dépose une bise sur mon front et, d’une main, sèche mes larmes, tandis que de l’autre, elle frotte et même tapote affectueusement mes fesses encore sensibles.

Elle s’accroupit pour remonter mes vêtements, tout en me faisant promettre de ne plus recommencer. Je promets, ce qui ne m’empêchera pas, dans le futur, de me retrouver ainsi déculotté pour d’autres fessées dont elle est devenue, désormais, une experte.

Christian

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